Jos De Gruyter & Harald Thys
Der Schlamm von Branst se déroule dans le cadre banal d’un centre d’activités ou quelques personnages passent leur temps à réaliser des sculptures en terre glaise que l’on pourrait considérer comme des manifestations provenant des profondeurs de la sublimation masculine. Ces tentatives de représentation d’une tête de cheval, d’un corps et de têtes humaines témoignent d’un amateurisme certain et d’une connotation plutôt phallique. Une fois de plus, le scénario opère à un niveau préverbal. Une seule femme est assise et pleurniche, tenant un bloc de terre glaise sur son ventre.